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espace jean monnet - Page 4

  • LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE A L’AVANT GOUT DE VACANCES

    Vanves a pris un petit air de vacances même si la météo ne s’y prêtait pas. Samedi était journée de mariages : Jean Pierre de Marco, militant UMP très actif s’est marié avec Monique Héraut  lors d’une cérémonie civile présidée par la jeune conseillère municipale Sandrine Bourg qui officiait pour la première fois, entourée par Isabelle Debré et Françoise Saimpert. Le docteur Monteil a marié l’un ses deux fils à Sceaux, et Maxime Gagliardi était de mariage en Savoie. Guy Janvier (PS) conseiller général de Vanves a lancé son projet de SEL (Service d’Echange Local) lors d’une réunion à l’espace La Tuilerie qui a réunit plus d’une vingtaine de personnes avec le témoignage du président du SEL de Clamart. Enfin, pour les passionnés de football, il y avait la Coupe du Monde avec un Brésil-Chili fort décevant regardé dans les cafés de Vanves : « Le Chili aurait mérité de gagner » selon les afficionados.

    Lundi 30 Juin

    A 18H à l’espace Jean Monnet : Soirée Supporters pour assister à la rencontre France-Nigéria organisé par l’ESCAL.  Son équipe propose aux mateurs de football qui souhaitent partager les matchs à la « bonne franquette » de venir regarder ensemble ses matches à venir en apportant boisson et de quoi grignoter 

    Mardi 1 Juillet

    A 18H au lycée Michelet :  Pot de fin d’année de la communauté scolaire de Michelet au cours de laquelle sont mis à l’honneur les membres qui sont nommésà un autre posre comme le proviseur Patrick Sorin ou qui partent à la retraite

    A 19H au Pavillon des Sports : Comité directeur du Stade de Vanves

    Mercredi 2  Juillet

    A 16H au PMS A.Roche  : Finale du tournoi Open organisé par la section tennis du Stade de Vanves

    A 18H30 à la Maison de Retraites Larmeroux : Réunion publique avec les riverains sur les chantiers de la rue Aristide Briand

    A 19H30 à la Maison Paroissial Saint Remy : Reprise du barbecue de l’été  dans les jardins de Saint Remy tous les mercredis durant les mois de Juillet et Août. Comme chaque année, les repas sont tirés des sacs.. Une initiative lancée voilà plus d’une dizaine d’années pour les célibataires ou les personnes qui se retrouvaient seules durant cette période estivale. La règle du jeu est simple : Un responsable est  chargé d’ouvrir les locaux, le couple Nathalie et Pascal Le Gouallec. Chacun amène quelque chose à manger que les participants partagent  avec tout le monde autour d’un barbecue

    Vendredi 4 Juillet

    A 18H à l’espace Jean Monnet : Soirée Supporters si la France se qualifie lundi en ¼  finale.

    Dimanche 6 juillet.

     

    A 19H : Concert « Wontanara International Festival » de l’Association Africatilles. Un festival de danses et de musiques africaines qui allie la magie du spectacle à la pédagogie de la danse traditionnelle pour découvrir la culture guinéenne et plus généralement l'Afrique avec au programme : 19h15 - MAMI WATA  Danses et rythmes traditionnels de l’Afrique de l’Ouest ; 19h et 20h -  Spectacle  des élèves d’Africatilles ; 21h - SAYON BAMBA  Chanteuse guinéenne

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALE 2014 A VANVES : L’ILOT CABOURG, LE CHANTIER EMBLEMATIQUE DE LA MANDATURE

    L’îlot Cabourg est le chantier et la réalisation de ce mandat dont le maire est fier. Il peut considérer avec fierté d’en être le pére, et c’est l’une des satisfactions que seul  peuvent avoir deux types élus en France : le Maire et le Président de la République.

    Cette opération d’aménagement a été lancé un certain 18 Juin 2003 lors d’une réunion publique où le Maire et son équipe avaient présenté ce projet qui s’étendait alors sur 9500 m2 avec reconstruction du groupe scolaire entre le commissariat qui devait alors déménager dans l’ancienne gendarmerie et le square Jean Monnet avec le LEP Dardenne. Entre cet établissement et le Tribunal d’Instance, sur une superficie  sur 500 m2, une centaine de logements devraient être édifiés avec un parking public de 60 places. L’opposition accusait le maire de dilapider le patrimoine communal et de densifier alors que la Majorité expliquait que ses équipements publics seraient financés grâce à ses logements. Une association de riverains et de parents d’éléves dénommé « Ilot Cabourg » s’était tout de suite constituée pour veiller au grain, défendre leur environnement et leurs écoles, et surtout avoir un droit de regard.  Ils craignaient que ce projet confié à un promoteur, celui-ci « ne refasse Max Fourestier avec une école en rez-de-chaussée et des immeubles au-dessus ». 

    Un an après, le 3 Juin 2004,  il coupait l’herbe sous les pieds des opposants au projet qui s’apprêtaient à demander l’organisation d’un référendum en annonçant  que la ville gardait la maîtrise foncière totale de l’opération avec l’abandon du projet de construction de logements et d’extension du tribunal d’instance, avec la reconstruction des écoles, du centre de loisirs couplé avec la préservation du pavillon de l’ancien commissariat, la construction d’une salle polyvalente et d’un parking de 80 places.  « La ville se retrouve avec un scénario nouveau et deux options : Soit on détruit intégralement l’ensemble, soit on envisage une opération de réhabilitation/reconstruction avec maintien des surfaces en cours (au delà des normes requises par l’éducation nationale) » indiquait-il en proposant de réfléchir à la reconstruction de l’école élémentaire derrière le Tribunal d’Instance, avec dans son prolongement, le long de la rue J.Cabourg, une salle polyvalente ou de sports de 400 m2, le déménagement du Centre de loisirs dans les bâtiments du Commissariat.

    « On pouvait difficilement attendre plus » indiquait une des représentante de l’association Ilot Cabourg en remerciant le Maire de les avoir écouté et en se félicitant d’avoir été persévérant. « Vous allez nous enlever du travail. Vous avez présenté ce que nous voulions » reconnaissait Guy Janvier (PS) pour lequel il restait des questions sur le type d’équipement public, sur les circulations douces et la liaison de ce projet avec le Centre Ancien. Les discussions se poursuivirent alors sur ce qu’il fallait faire, notamment lors de réunion de concertation association parents d’éléves-enseignants et personnels administratifs et techniques des écoles et des Centres de Loisirs durant toute le reste de cette année 2004. Le 15 Décembre 2004, le conseil municipal approuvait le programme relatif aux travaux de recomposition de l’îlot Cabourg. Comme le montant de l’opération s’élevait à 8 163 001 €, la ville a sollicité diverses subventions en 2007/08 qui se montaient à 1 761 590 € et la Communauté d’Agglomération Arc de Seine pour l’attribution d’un fonds de concours 2009 d’un montant de 405 808 €. Ainsi 5 595 603 € devait rester à sa charge. 

    « Les équipes municipales précédentes n’ont pas pu le faire (la reconstruction) car c’était difficile ! » surtout au niveau financier. « Elles  ont surtout replâtrer en fonction des urgences en limitant les dégâts au niveau des écoles. Alors que toutes les conditions sont réunies aujourd’hui…Nous n’allons pas laisser tomber parce que la période n’est pas excellente. Le risque que l’on prend n’est pas aussi mauvais que cela » répondait le maire, à ses détracteurs qui s’inquiétaient de l’état des finances communales et des possibilités de la ville de mener une telle opération. Pour lui deux leviers étaient essentiels : la reconstruction du commissariat à la place de l’ancienne gendarmerie. Puis l’idée de rendre cet espace moins impénétrable, d’ouvrir des voies de circulation douce pouvant être la jonction entre le sentier des écoles pour rejoindre le square Jean Monnet, la rue René Coche, la gare….

    Les Verts regrettaient « que ce travail sur l’îlot Cabourg n’ait pas été relié  avec tout ce qu’il y a autour, et en particulier le Centre ancien de Vanves ». Ils mettaient en avant « un déficit de vision stratégique de la ville »… « dû à une sorte de tronçonnage de la ville ». Ils avaient même présenté le projet d’un éco-quartier durant la campagne municipale de 2008 qui s’étendrait au delà du périmétre de l’îlot Cabourg entre la Mairie et  le centre ancien, avec  des logements de très haute qualité environnementale, permettant mixité sociale et intergénérationnelle, relié par un cheminement piétonnier et cycliste continu vers le centre ancien et le parc F. Pic, et par dessus l’avenue Fratacci grâce à une passerelle qui devait le relier au marché puis au plateau de Vanves. « C’est exactement ce que l’on fait, avec des transparences, des cheminements qui traverseront ce quartier, des éléments de développement durable. Mais voilà, les Verts proposent de construire du logement social. Mais nous avons exclu la construction de logements lors de la concertation puisqu’on nous l’avait demandé. . L’ilôt Cabourg n’est pas un champ de pommes de terre… » répliquait  Bernard Gauducheau en Février 2008 durant la campagne des municipales en ajoutant qu’il est  « innovant en faveur du développement durable » avec toitures végétalisées, ventilation en double flux, éclairage basse tension concernant les bâtiments, cheminements piétonniers à travers cet îlot et connexion avec le mail Sadi Carnot et la future liaison douce entre le Plateau et le Centre Ancien. 

    Au printemps 2009 les 15 lots de l’appel d’offres avaient été accordés du premier coup, aucun ne s’étant révélé infructueux, pour 18 M€ au lieu de 23 M€ selon les prévisions. Durant l’été, les services municipaux s’étaient mobilisés pour déménager les deux écoles vers les locaux de la CPAM/PMI ou les bungalows du lycée Michelet. Et à la veille du démarrage du chantier, un petit groupe de plus d’une trentaine d’anciens écoliers avait pu effectuer une dernière visite dans cette école qui était « l’école de Vanves » grâce à l’initiative de Bernard Roche. Il n’y a pas eu trop de soucis « parce que les entreprises ont respecté les délais », quelques retards vite rattrapés par la suite, à cause des intempéries et des périodes neigeuses des deux hivers 2009 et 2010. Une réunion de chantier se réunissait tous les mardis matin sous la houlette de Gérard Laubier maire adjoint, secondé par Michel Dingreville, conseiller municipal, avec des fonctionnaires de la ville et surtout tous les entreprises intervenantes.  Ainsi ce chantier a participé au Plan de Relance lancé par le gouvernement en 2009.  Il faisait parti des 1947 projets  de moins de 50 M€ recensés en Ile de France, évalués à 6,4 milliards d’euros soit 40,4 milliers d’équivalents emplois en 11 mois d’activités.

    A la fin du chantier, et c’est encore le cas aujourd’hui, le maire était fier de faire visiter ce chantier. En Juin 2011, il faisait découvrir les nouvelles écoles aux  parents et à leurs enfants le 18, et aux conseillers municipaux le 21, avant de siéger en conseil municipal. Le consensus était très net sur cet îlot, sauf peut être de la part des écologistes : « Il faut voir comment ce bâtiment va vivre, comment sur le plan financier, il ne va pas empêcher de faire des travaux nécessaire dans les autres écoles. Il faut le voir maintenat habité, vivre, comment les enseignants l’apprécient, comment on en tire de nouvelles pratiques de convivialité » expliquait Lucile Schmid alors que ses collègues Pierre Toulouse et Claire Papy s’inquiétaient de savoir si ces bâtiments étaient HQE. Lors de l’inauguration le 15 Octobre, le préfet des Hauts de Seine était étonné : « C’est exceptionnel d’avoir récupérer une telle emprise ». Jean Marie Cavada était surpris par la luminosité qui régnait dans les piéces de cette école parlant de « légéreté ».

  • GAUDUCHEAU ET VIGNAUD JOUENT LES DUETTISTES POUR EXPLIQUER LA POLITIQUE CULTURELLE DE VANVES

    Les deux réunions publiques de quartier de cette semaine, avec la troisiéme programmée le 17 Décembre prochain à l’école Larmeroux (Hauts de Vanves) ont permis au maire de parler de sa politique culturelle, avec l’aide de Valérie Vignaud, maire adjointe chargé de la culture, mais sans José Alfarriba en déplacement en Argentine

     

    Valérie Vignaud avec l’aide des assistants de José Alfarriba a présenté surtout la saison culturelle 2012-13 en reconnaissant que la culture ne se limite pas au théâtre, avec la bibliothéque, les Archives impliquées dans les Journées du Patrimoine,  le conservatoire de musique qui va bénéficié d’un nouveau bâtiment, l’ESCAL avec A.Gazier et J.Monnet, en insistant sur la transversalité entre tous ces acteurs avec le PHARE et surtout le théâtre. Ils ont rappelé que l’objectif du directeur du théâtre était d’organiser un événement culturel  chaque soir dans ce théâtre qui célébre ses 30 ans ainsi que les 15 ans du festival Artdanthé : « Il y a 64 spectacles tout confondu lors d’Artdanthé avec des compagnies venant de tout horizon, et de pays comme le Canada, la Hollande, Israël. On a ouvert ce festival à d’autres disciplines qui n’entrent dans aucune catégorie ». Mais il n’y a pas que cela  avec 33 piéces programmées dans l’année, 17 spectacles de musiques,   avec le festival de Jazz « Turbulences » en Juin qui verra se produire 7 formations en 2013, le cinéma qui est passé au numérique à la Rentrée avec 170 films et 500 séances programmées, Ciné Gouter pour les enfants, Cinéma Différent à destination des handicapés. « Nous travaillons avec le PHARE pour permettre aux associations d’organiser des événements à Panopé ou au théâtre. Et des artistes pour la galerie du théâtre qui reçoit la visite de classes de Vanves (27 en 2011-12) »

     

    Bernard Gauducheau a profité des questions posées lors des deux réunions de quartier la semaine passée pour rappeler qu’une petite ville comme Vanves  qui se classant tout de même parmi les cent premières communes de France, et sa proximité avec Paris, ne l’empêche pas d’avoir une politique culturelle propre. « On a tendance à penser qu’ailleurs c’est meilleur que chez nous. Les vanvéens ont tendance à délaisser l’offre culturelle de Vanves à cause de la proximité de Paris. On a pris en compte cet état de fait, avec une plus grande offre culturelle à côté de chez nous. L’une des caractéristiques de Vanves est son action pour la danse qui n’a pas été assez exploitée. Vanves est maintenant internationellement reconnu dans la danse contemporaine, sur une discipline que l’on connait mal, avec de grands artistes qui viennent jusqu’à chez nous grâce à des professionnels qui savent les dépister. On ne refera pas l’Opéra Garnier, mais on proposera une offre alternative que l’on ne retrouvera pas par ailleurs » a-t-il expliqué en revenant sur des journées de la musique ancienne qui a attiré 2000 visteurs au salon de la Lutherie durant le week-end dernier,  grâce à un professeur du conservatoire. « Un salon plus abordable que Musicora pour ces luthiers qui vont fabriquer 3 instruments dans l’année. Ce que l’on fait en matière culturel, est pensé et réfléchit afin de mettre les créateurs en avant. Comme ce sera le cas avec ce salon d’art contemporrain avec 40 artistes, et ses portes ouvertes dans leurs ateliers le week-end prochain  ».

     

    Ce salon a été inauguré Vendredi soir par Bernard Gauducheau entouré par Valérie Vignaud et Françoise Saimpert, maires adjointes chargé de la culture pour la premiére, de la vie associative pour la seconde, qui sont à l’origine de ce salon couplé avec ce week-end Portes Ouvertes dans les ateliers d’artistes vanvéens. « Nous renouons avec les artistes plasticiens depuis l’abandon de l’espace Chenel pour organiser un salon » a-t-il reconnu en laissant entendre que la location de cet espace était devenu hors prix. De surcroît, il n’était pas question d’utiliser un gymnase privant – et cela a été le cas souvent dans le passé – les sportifs de leurs créneaux horaires. L’ouverture de La Palestre avec ses 400 m2 permet maintenant de faire beaucoup de chose comme ce salon d’Art contemporain, couplé avec les « Ateliers d’artistes portes ouvertes », pour « mettre en valeur ces artistes professionnels et amateurs. Notre vile de Vanves recéle de trésors humains. Tous ne sont pas là ce soir. Mais on leur permet d’exposer et de les rencontrer dans leurs mlieux de créations ». Et il est encore temps en ce dimanche de faire un tour à la Palestre ou l’un des ateliers d’artistes.